PAS LE TEMP POUR LA MISE EN PAGE ET LA CORRECTION AUJOURD HUI. ON S'EN OCCUPE LA PROCHAINE FOIS.
Notre dernier post, au gout salé des frites du macdo et des goutes de sueurs d'un travail acharné, a prit forme à port Pirie, berceau d'une nouvelle aventure.
On a donc quitté cette ville eclairée par des neons de voiture Sébiser ( M. Lemaire grand tunneur de R5 français ) et pris la route plein Nord. Les flinders-ranges, portse de l'outback du "South Australia" à quelques heures d'Adelaide.
Mais les claquettes n'imunisant pas des brown snakes, nous rebroussames chemin. On a survolé cette partie de l'Australie car peu motivés pour de longues balades sous le soleil assomant et puis de toute façon on fait ce qu'on veut !
La deuxième partie de cette histoire incroyable a été marquée par de longues heures de route vers le sud en direction de Pt Lincoln, une nuit au bord de l'eau entre des camping car plus grand que l'ancien appartement d'aurelien et la rencontre d'une femme que l'on nommera the Oyster Old 'Ma.
Cette femme qu'on avait abordé pour trouver un endroit où dormir nous l'indiqua mais surtout nous parla de son "fils" qui travaillai dans l'huitre (oyster) et que l'on pouvait contacter pour travailler (work).
On a donc pas trouvé l'endoit pour dormir, tant pis, va pour une nuit n'importe où.
Le lendemain, un dimanche, visite du port, baignade entre les méduses et les aborigenes.
Quelques courses au liquor shop et hop ça fait la teuf dans le parc national !
Un jeu de carte de la musique et du jim beam .. l'histoire se répète.
On a fini par rencontré Brendon le gérant de l'oyster farm :
- hi, are you Brendon ?
- yep ( plus du patois incompréhensible)
- I meet your mother yesterday and she talk to me about a job in your farm.
- Really ? My mother die 10 years ago.
Il s'est averé que ce mec était plutôt cool car il avait pas de taff pour nous mais après une 10ene de coups de fil, il a fini par nous dégoter un job 200km plus haut chez Nick.
Le prochain post traitera de l'ambiance délirante de la ferme à huitres de Nick et de l'ambiance de ce village de bord de mer,Cowell, un petit bijou digne des émission Strip-tease.
Faute de photo on ne peut en dévoiler d'avantage.
vendredi 26 février 2010
lundi 15 février 2010
Innes National Park in the Yorke Peninsula
Moment de détente en pleine nature dans l'Innes National Park !
Pêche, Kangourous, Emeus, et backflip à gogo.
Pêche, Kangourous, Emeus, et backflip à gogo.
The Great Ocean Road
Quelques jours plus tard, il y a une semaine à peu prêt.. (pardonnez notre manque de précision temporelle mais le temps nous a délaissé). Nous voilà sur la Great Ocean Road une route aux courbes onctueuses, titillant le bord de mer, un brin champêtre soutenu d'une note féerique.
Le chemin qui mène à Adélaïde est plein de bonnes surprises telles que les chutes noires dégueulasses du premier arrêt, les champignons magiques du bord de mer ou encore l'ile aux pélicans mangeurs d'hommes..
On a rencontré, en route, Deborah et Amandine. Deux françaises pleines d'ambition (aller travailler à Adélaïde) mais faibles en festivités. On a partagés quelques arrêt sur la route et soirées dans les bois, rest-areas et autres dunes du Robe's nachonalpark.
Notre épopée nous a donc conduit, grâce à un subtil et attrayant panneau intitulé « Pelican's point ». A notre grand étonnement on ne pouvait pas voir de pélican depuis le Pelican Point, pas plus que de dauphin à Dauphin Point ou encore de pingouin à Pingouin Point. On a donc pris nos claquettes à notre cou et partîmes pimpant et pieds dans l'eau vers … L'ILE AUX PELICANS !
En prime show quelques tourterelles de mer nous indiquaient le chemin, ce n'est qu'après moultes kilomètres ( pour exagérer ) de marche en eaux troubles que nous pûmes apercevoir un écriteau intelligemment baptisé « prohibided area » mais notre courage était plus grand que la mise en garde, on a donc vaillamment continué. C'est seulement ronces et cailloux aiguisés que Mère Nature a placée en chemin qui ont eu raison de nous. N'ayant pu approcher l' « Osictus grando pélicantos » à moins d'une vingtaine de mètres, on a ramené un os plus grand que mon tibia histoire d'alimenter la légende. Fin de l'aventure des pélicans mangeurs d'hommes.On a rencontré, en route, Deborah et Amandine. Deux françaises pleines d'ambition (aller travailler à Adélaïde) mais faibles en festivités. On a partagés quelques arrêt sur la route et soirées dans les bois, rest-areas et autres dunes du Robe's nachonalpark.
Quelques coups de claquettes en l'air, un peu de réflexion, le choix de la direction et nous étions repartit.
En somme on a fait Melbourne – Torquay et son zoo qui n'était pas vraiment à Torquay mais pas loin – une nuit à Yuulong Johanna à admirer le ciel étoilé – L'aprem à port Campbell pour se doucher et gouter des bières – beaucoup d'arrêt le long de la mer à profiter du paysage et de l'eau fraiche de l'océan – La nuit dans les bois de Sawpit à tailler du bois à la hache, faire du feu et jouer aux cartes – profiter des lacs bleus persans de Mt Gambier et des ses airs de pic-nic rafraichissantes – Dormi dans les dunes de Robe – Pour finir dans les environs d Adélaïde, entourés des vignobles.
Home sweet home
Cheveux au vent
Douche nature
Le plein et on est repartit
mercredi 10 février 2010
De Melbourne au chômage
Après être resté illégalement dans le camping de Williamstown 4 jours durant, on a décidé de visiter Melbourne une dernière fois pendant l'Australian day, pour ensuite commencer la migration vers le fruit-picking.
L'Australian day c'était un peu l'arnaque. Pas de festivité dans la rue si ce n'est quelques locaux déguisés patriotiquement (Sarko en serait fièr) et un système de sécurité empêchant toute bouteille d'être décapsulées en pleine rue.
Série de back-flip réception croco
La recherche de taff a été rythmé par des « sorry, mate! Come back next week » ou « No thx, we are full »
campagne de Shepparton
La surpopulation franco-allemande ainsi que l'ouverture du visa working-holliday à la Chine ont fait de Shepparton un terrain de combat pour les chercheurs de boulot. Après un rapide check-up de nos ressources on est finalement repartit vers Melbourne pour rejoindre la Great Ocean Road.
« A la recherche du pélican mangeur d'homme, fin de la première partie »
Est ce que nos 2 héros vont mourir de faim devant une boite de thon périmée et un paquet de pattes crues avant d'avoir re-rejoint Melbourne ?
Grosse fatigue !
Lune Bleu d'après les Aussies
Opossum
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